samedi 21 juillet 2012

Sur le porte-avions Intrepid, la navette Enterprise de la NASA fait la contre plongée des touristes


Bon, la navette Enterprise a le nez un peu tronqué, en raison du montage photo, mais elle reste imposante. Photo : rke
Laura et Rosalie ont mouillé
leurs souliers sur le porte-avions
 Intrepid. Photo : rke
Hello ! Sous le train d'atterrissage avant.
Photo : Rosalie Collot
[ New York, July 20th 2012, © (rke), english below ] – Mais qu’est-ce que l’espace vient faire dans un musĂ©e marin ? Ben, voyons, s’il y a un bateau, il y a des avions et mĂŞme une navette sur le ponton ! On comprend donc pourquoi le MusĂ©e de la mer, de l’air et de l’espace (Sea, Air and Space Museum) de New York accueille le domaine spatial. Après tout, sans porte-avions, les cabines spatiales des programmes Mercury, Gemini et Apollo (1962 Ă  1972) n’auraient pas pu ĂŞtre rĂ©cupĂ©rĂ©es de la mer. C’est donc sur l’Intrepid, un bateau de l’US Navy datant de 1943 que nous nous sommes retrouvĂ©s ce vendredi 20 juillet pour admirer la fameuse navette Enterprise, une vraie, non pas de celles qui a volĂ© dans l’espace, mais qui a Ă©tĂ© employĂ©e aux essais (dont des vols sur le Boeing 747 transformĂ© de la NASA). Et chose rare, il a Ă©tĂ© possible de voir le vĂ©hicule d’en dessous, ce qui ne s’est fait que très rarement auparavant pour le public. Et encore fallait la voir, cette navette ! En montant Ă  bord du porte-avions, j’ai dĂ» m’y prendre Ă  trois fois pour la trouver. « Mais elle est au dessus, sur le ponton ! », nous explique une sympathique employĂ©e.
-        On passe par oĂą ?
-        Prenez lĂ -bas, monter l’Ă©chelle, allez dehors, tourner Ă  gauche, puis tout droit, puis c’est lĂ  !
C’est bon, on y est… tout mouillĂ©. Dame mĂ©tĂ©o s’est permis de nous surprendre. Mes deux miss, les pieds complètement dans les flaques, ont un peu pestĂ© ! Et qu’est-ce qu’il y avait du monde Ă  voir l’engin. Enterprise a Ă©tĂ© installĂ©e dans un pavillon en forme de dĂ´me gonflable. A l’intĂ©rieur, il est vrai que l’engin est imposant, vu en contre-plongĂ©e… et en plongĂ©e.
On a dû remette à demain samedi notre vol en hélicoptère proche du pont Brooklyn. Une sacrée aventure nous attend encore.

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On the aircraft carrier Intrepid, the NASA’s shuttle Enterprise made against dive of the visitors
Une voilure quasi marine. Photo : rke
Vue arrière. Photo : rke
Un vrai ! Le SR 71Black Bird.
Photo : rke
But what the space domain is doing in a marine museum ? Well, when there are ships, there are planes and even, why not… a spacecraft on the pontoon. It’s therefore understandable why the Sea, Air and Space Museum of New York hosts the spatial domain. Finally, without aircraft carriers, the space cabins of Mercury, Gemini and Apollo programs (1962-1972) could not be recovered from the sea. It’s therefore on the Intrepid, an U.S. Navy ship dating from 1943 that we ended this Friday, July 20th to see the famous shuttle Enterprise. A real spacecraft, not those that flew in space but that was used for testing (including flights on Boeing 747 transformed from NASA).
And for an exceptional event, it was possible to see the vehicle from underneath, which made ​​itself very rarely before for the public. And still had to see, this shuttle ! On boarding the aircraft carrier, I had to do it three times to find it. « But it’s above, on the pontoon! », explains a nice employee.
- We go by where ?
Sur le porte-avions Intrepid.
 Photo : rke
- Take out there, climb the ladder, go outside, turn left, then straight, then you are there.
All right, we are here, heu ... all wet. Weather lady was allowed to surprise us. My two miss (Laura an Rosalie) feet completely in puddles have a little curse. And what there was many, many tourists to see the spacecraft. Enterprise has been posed in a inflattable pavillon dome. Inside, it’s true that the machine is impressive, given in a low-angle (against dive) shoot. We had to deliver to Saturday (tomorrow) our helicopter flight. An other adventure.

Faire ses emplettes, manger et prendre le métro à Manhattan


Entre la sixième et septième avenue. photo : rke
[ New York, July 20th 2012, © (rke), english below ] – Faire les emplettes Ă  Manhattan, c’est comme en Suisse ! Dans un certain sens, Ă©videmment. Pour ces messieurs, l’attente de ces dames dans les magasins est toujours aussi longue et mĂŞme cent fois plus longue. Du coup, j’ai laissĂ© mes deux misses Laura et Rosalie seules dĂ©ambuler dans les rues hyper sĂ©curisĂ©es de New York. Aux alentours de chaque rue, on y voit des flics partout, mĂŞme avec le monde fou qui y circule. On est tellement noyĂ© dans la masse qu’on ne peut avancer plus vite que le reste des gens. J’ai pris la nouvelle valise de Rosalie pour l’aider Ă  s’acheter d’autres habits et la dĂ©barrasser de son objet encombrant. MĂŞme en lâchant la malle sans se faire la malle, au bord du passage piĂ©ton (j’avais l’Ĺ“il vigilant), aucun badaud n’est venu me l’extirper alors que j’Ă©tais coincĂ© dans la foule. Je n’ai jamais vu autant de monde envahir les trottoirs, mĂŞme lors d’une manifestation. En ce mois de juillet, il doit bien y avoir des centaines de milliers de personnes dĂ©ambuler rien que sur la septième avenue de Manhattan qu’on a fini par apprĂ©hender. Rendez-vous compte, ce sont mes deux accompagnatrices qui se sont faites mes guides, tellement elles sont accoutumĂ©es Ă  la ville. Une mĂ©gapole que Laura n’aime guère. Elle prĂ©fère Miami. « Il faut un porte-monnaie très garni, dès deux mille francs Ă  l’infini, si l’on veut se contenter de tous ces magasins. Et des bonnes baskets, on a parcouru 15 km en deux jours », conseille Rosalie.
Rosalie Collot et Laura Keller.
Photo : rke
Pour manger aussi, c’est la bourse… de la vie. L’autre matin, on a dĂ©jeunĂ© dans une brasserie propre et allĂ©chante du coin de rue de notre hĂ´tel (Wellington) et cela nous a fait 120 dollars (120 francs), pour trois grosses salades. Ne parlons pas du mĂ©tro oĂą, après le jour caniculaire de mercredi, est devenu une vraie fournaise. Laura est estomaquĂ©e de la vĂ©tustĂ© et des mauvaises odeurs de l’entrĂ©e de ce subway que les New-Yorkais nomment aussi e-train (non pas le train Ă©lectronique).
Mes deux miss Laura et Rosalie se rĂ©jouissent de rentrer, surtout Laura qui peste contre le bruit de la ville (elle ne supporte pas les sirènes des ambulances). Quant Ă  Rosalie, notre championne jurassienne hippique de saut RII 2011, elle a dĂ©jĂ  un peu le blouse, rien Ă  la pensĂ©e de rentrer. Moi aussi d’ailleurs. Mais je m’y habitue.

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To shop, eat and take the subway in Manhattan
Une boutique Dash dans le quartier Soho.
Attention : très chère ! Photo : rke
To shop in Manhattan is like in Switzerland ! In a sense, of course. For these gentlemen, pending the ladies in the shops is still long and even a hundred times longer. So, I left my two misses Laura and Rosalie only walk down the streets of New York super secure. Near every sreet, we see cops everywhere, even with the crazy people that flows. We are so embedded in it (the crowd) that we can not move faster than the rest of the people. I took the new suitcase for Rosalie to help her buy more clothes and get rid of its cumbersome object. Even by dropping that suitcase, along the walkway (I had the watchful eye), no bystander came to me eradicate it while. I've never seen so many people invade the pavements. In  this July, there must be hundreds of thousands of people just walk on Seventh Avenue in Manhattan that we have finish to apprehended. Did you know that they are my two attendants who have made my guides, so well accustomed to the city ? A megalopolis that Laura does not like very much. She prefers to go and to stand in Miami. « It’s necessary to have a very furnished carrier-monaie (from two thousand dollars to infinity), if you will be satisfied with all these stores. And good sneakers, we walked 10 miles in two days », advises Rosalie.
Le métro délabré de Manhattan.
Photo : rke
To eat, it’s the expensive market, too. The other morning we had lunch at a brewery clean and attractive « brasserie » in the corner from our hotel (Wellington) and we payd 120 dollars for three large salads, only for breakfast. And don’t talking about the metro where, after the very hot day of Wednesday, has become a real furnace. Laura is always shocked about dilapidation and stenches of the entrance to the subway that New Yorkers also called e-train (but not electronic-train).
My two Miss Laura and Rosalie enjoye to welcome back to Switzrtland, especially Laura, who protests against on the noise of the city (she doesn’t support ambulance sirens). And for our equestrian champion jumping (RII, Jura region 2011), Roslaie, she already has a little bouse in the thought to return in the country, in Switzerland. Foe me, too. But I'm getting used.