A Dieu, Armstrong. - Photo : NASA |
[ Washington D.C., September 17th 2012, © (rke), english below ]
– Dieu que c’est pénible. Assister à la cérémonie funéraire en la mémoire
de Neil Armstrong, ce jeudi 13 septembre dans la Cathédrale Nationale de
Washington, m’a ébranlé. Voir la photo officielle de la de l’autre cérémonie,
celle de la dispersion des cendres dans l’océan Atlantique au large de la
Floride, m’a assommé. Ce dernier hommage sur le porte-avions fait avec tous les
honneurs militaires n’était pas accessible au public et à la presse et c’est
tant mieux.
Je préfère garder d’Armstrong le souvenir de cette messe
d’adieu à la mémoire de quelqu’un qui a captivé la moitié de la planète aux
exploits de conquête de son petit pas, devenu, en 1969, un bond d’espoir.
« L’humanité ne pourra pas toujours rester dans un berceau », comme
l’avait déclaré le Ruso-Polonais Konstantin Tsiolkovsky,
le père des fusées, grand visionnaire de l’astronautique qui avait en 1903
déjà, émis une théorie sur le fonctionnement des fusées (hydrogène/oxygène)
capables de s’extirper de l’attraction terrestre.
Dans la Cathédrale Nationale de Washington. - Photo : rke |
Last tribute to Neil Armstrong : after his small step on the
Moon, a jump hop over sea
Oh, my God, it’s an hurtful memory. I so was shaked to
attend at the funeral day in the Washington National Cathedral the last
Thursday, Sept. 13. And more, I was stunned too look that official photo of an
other ceremomy than the scattering of ashes in the Atlantic Ocean off the coast
of Florida, one day after.
I prefer remember me of Armstrong in memory of someone who
has captured half the planet to conquer his small step became in 1969, a jump
of hope. « Humanity will not always stay in a crib" said the
Ruso-Polish Konstantin
Tsiolkovsky, the father of rockets, astronautics great visionary who had in
1903 already theorized on the functioning of rockets (hydrogen / oxygen) can
extricate themselves from Earth's gravity.
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