samedi 18 juin 2011

NASA/STS 135 - Les contrĂ´leurs de Houston Ă  l’action : avec eux et pour eux

Des contrôleurs peu dérangés par
notre présence (au fond)
STS 135 - Les contrĂ´leurs de Houston Ă  l’action : avec eux et pour eux
[ Houston, June 17th 2011, rke ] – Dans la salle de contrĂ´le de mission de la navette, au cĹ“ur mĂŞme des opĂ©rations, l’ambiance, pendant les heures tests du vol, est plutĂ´t flegmatique, mais dotĂ©e d’une assurance qui donne envie d’avoir. Des ingĂ©nieurs aptes Ă  rĂ©agir sans stress dans la plus grande pondĂ©ration, voir un humour sans exubĂ©rance. Après cette mission-test rĂ©ussie, c’est avec Ă©motion que ce personnel exceptionnel se dĂ©tend. C’est quand mĂŞme la dernière importante simulation avant le grand dĂ©part d’Atlantis le 8 juillet. Le dernier exercice pour certains. Après, il n’y aura plus de missions habituĂ©es. Déçu ? « Pas trop, car j’ai quand mĂŞme mon job qui continue dans la salle de contrĂ´le de la station spatiale internationale ISS », reconnaĂ®t Aaron Frith, l’un des ingĂ©nieurs installĂ©s au pupitre qui coordonne et vĂ©rifie le fonctionnement des ordinateurs du centre de contrĂ´le. Bien que le nouveau challenge de la NASA de collaborer avec le secteur privĂ©, tout en abandonnant la reconquĂŞte de la Lune, lui convient, il aurait souhaitĂ© quand mĂŞme y retourner… sur notre satellite : « D’abord la Lune, ensuite Mars, aurait Ă©tĂ© pour moi la solution la plus judicieuse Ă  long terme ».
Oui, c'est moi dans l'ancien centre de
contrĂ´le des vols Apollo.
Un privilège et une fiertĂ© d'ĂŞtre assis lĂ .
[Photo (c) : Barnaby Green - Sky News]
A peine a-t-elle terminĂ© cette partie de contrĂ´les, Jenny R. Gruber, est soulagĂ©e que la mission-test du jour se soit bien dĂ©roulĂ©e. Plus nuancĂ©e, elle estime que le secteur privĂ© offre d’autres opportunitĂ©s de dĂ©veloppement du programme spatial tout en laissant de la marge de manĹ“uvre Ă  la NASA pour la recherche. « C’est vrai qu’avec un autre grand objectif Ă  atteindre et bien dĂ©fini, cela redynamiserait le secteur spatial », reconnait-elle. Moi aussi. (Ă  suivre)

- Prochain article – EXCLUSIF : AVEC les astronautes dans le simulateur

NASA/STS 135 - mission controllers : with them and for them
After a half-day of tests, relax !
In the Mission Control Center, in the heart of operations, the atmosphere during the hours of flight tests, is more phlegmatic, but with insurance that gives want to have. Engineers are able to reactivity without stress to the maximum weight, so humor without exuberance. After this successful test mission, it’s with emotion that expands exceptional staff. It's still the last major simulation before the departure of Atlantis on July 8. The past exercise for some. After, there will be no more human flights with shuttle. Disappointed? « Not too much, because I still have my job going on in the control room of the International Space Station (ISS) » says Aaron Frith, one of the engineers installed to the console. He’s checking that coordinates operations of the computers of the center. Although the new challenge from NASA to work with the private sector, while abandoning the reconquest of the Moon, suits him, he would have liked to still go back ... on the Moon : « First Moon, then Mars, would was for me the most knowledgeable fo a long term challenge ».
No sooner had she finished this part of controls, Jenny R. Gruber is relieved that this mission-test for the day is a succes. More nuanced, she believes that the private sector offers more opportunities for development of the space program while allowing the flexibility to NASA for research. « It is true that with another great goal and well defined, it revitalize the space sector » she admits. Mee, too. (following)

- Next news - EXCLUSIVE: WITH astronauts in the simulator


La vidéo