L'emblème de l'expérience SDS. |
Présentation du panneau qui capturera les débris. Image prise lors du briefing du 14 décembre 2017. - Photo : rke |
À propos de nouvelles, je suis
finalement resté en Floride et n’ai pas entrepris le voyage en voiture jusqu’au
Texas (et retour). J’avais envisagé de visiter ma « petite » cousine Christine
Bachmann-Keller, basée à Houston, puis de descendre jusqu’à Boca Chica, à la
frontière mexicaine. L’aller-retour m’aurait fait 5'000 km !
La
NASA va en capter…
Me voilà donc au cœur du sujet pour ce
premier jour de l’an. Qui dit espace, dit exposition aux micrométéorites ou aux
débris spatiaux. Un problème crucial dans l’espace. Pour mieux le comprendre, une
expérience scientifique a été embarquée dans le cargo CRS-13 de SpaceX, lancé
le 15 décembre 2017, le dernier tir depuis Cap Canaveral. À l’intérieur, le capteur
d’impact de débris spatiaux (SDS) de la NASA a été calibré et conçu pour
mesurer directement l'environnement des débris orbitaux de l'ISS pendant 2 à 3
ans. Ce capteur d'environ un mètre carré est monté à l'extérieur de l'ISS. SDS
combine des films minces à double couche, un système de capteur acoustique et
de capteur de grille résistif ainsi qu’un arrêt sensoriel.Il s’agit de créer un
instrument commercial disponible sur le marché afin d’offrir une excellente
capacité de détection et d'enregistrement en temps réel.
Je suis resté en Floride et j'ai trouvé un nouveau pote astronaute dans un hôtel de la région où les prix ont quasiment doublés depuis ce 1er janvier 2018. |
« Nous en savons très peu de
choses sur les petits débris. Nous pourrons ainsi cartographier jusqu'à environ
5 cm, mais plus petit que cela, il devient difficile de le faire. Donc, en
regardant la direction, la masse et la vitesse de tous les impacts de débris
spatiaux sur la SDD, nous pourrons mieux caractériser cet environnement,
espérons que le marché commercial puisse fonctionner de façon plus sécuritaire
dans ce domaine », nous avait déclaré Kirt Costello, directeur du
programme scientifique de CRS-13, lors du briefing de NASA/SpaceX le 14
décembre dernier à Cap Canaveral.
…
et le CSEM en récupérer d’autres
Dans cette perspective, le CSEM (Centre Suisse d’Électronique et de
Microtechnique) à Neuchâtel, travaille sur un projet de recherche de
récupération des débris spatiaux (Remove Debris Platform). J’aurai l’occasion
de vous en reparler après la parution de l’article dans les magazines Swiss
Engineering RTS-STZ (français et allemand) qui
paraîtront en février 2018. Deux magazines d’ailleurs édités par Kömedia à Saint-Gall.
2018
– NASA and the Swiss CSEM research center to storm of space debris
The panel attached to the ISS. - Photo :NASA |
Kirt Costello during the NASA/SpaceX briefing on December 14th in Cap Canaveral. Photo : rke |
[Cape Canaveral, Florida, January 1, 2018, rke] – This is not the first time I finish the
year in the US and I start a new one. In 1999, when our Swiss astronaut – Claude Nicollier – realized his 4th and
last flight, with an EVA in space, I had the opportunity to cover the event for
various French-speaking newspapers including: Nouvelliste, Echo Magazine, Le
Quotidien Jurassien, le Mensuel de l’industrie
MSM, la Revue Polytechnique, etc.
I take this opportunity to thank him for his loyalty reading this blog and
wish him a year 2018 full of space resources. Obviously, I thank all my
readership, the youngest (yes, I have!) at the most reinforced ages, including
a faithful among the faithful, my former school teacher (when I was a
teenager), Michel Girardin. Without forgetting the family that reads me
sometimes to have news from me.
By the way, I finally stayed in Florida
and did not go on the road trip to Texas (and back). I had planned to visit my
"little" cousin Christine Bachmann-Keller, based in Houston, and then
go down to Boca Chica, on the Mexican border. The round trip would have made me
two thousand eight hundred miles!
NASA
will capture them…
So regarding space, also concerns
exposure to micrometeorites or space debris, too. A crucial problem in space.
To better understand it, a scientific experiment was embarked on SpaceX's
CRS-13 freighter, launched on December 15, 2017, the last shot from Cape
Canaveral. The NASA’s Space
Debris Sensor (SDS) is a calibrated impact sensor designed to directly
measure the ISS orbital debris environment for 2 to 3 years. This approximately
one square meter sensor will be mounted outside the ISS. SDS combines
dual-layer thin films, an acoustic sensor system, a resistive grid sensor
system, and sensored backstop to create a commercial off-the-shelf-based
instrument that provides excellent semi-real-time impact detection and
recording capability. The sensor will be delivered in the trunk of the SpaceX
cargo spacecraft.
Example of very small debris. Photo : NASA |
« We know very little about
smaller debris fields. We can map down to about 5 cm, but smaller than
that it gets difficult to map. So, looking at the direction, the mass, and the
velocity of all of the space debris hits on the SDS will help us better
characterize that environment, hopefully so that the commercial market can
operate more safely in that arena », told us, Kirt Costello of the Program
Science Office, during the NASA/SpaceX briefing on December 14th in Cap
Canaveral.
I celebrated New Year's Eve at the Space View Park & Space Walk ofFame in Titusville. - Photo : rke |
…
and the CSEM get them back other
In this purpose, the CSEM (Swiss Center for Electronics and
Microtechnology) is working on a research project for the recovery of a Remove
Debris Platform. I will have the opportunity to talk about it again after the
publication of the article in Swiss Engineering RTS-STZ magazines (French and
German) which will be published in February 2018. Two magazines published by Kömedia in St. Gallen (North East of Swiss).
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