lundi 1 décembre 2014

Les majestueux pélicans de Cap Canaveral planent sur Orion

Au loin, au milieu, le VAB. - Photos : rke
C'est Roland, avec les
orangers de Gerard.

C'est d'ici que Gerard
veut voir la fusée
Delta IV décoller.
[Cap Canaveral, December 1st, 2014 (rke)] – Gerard van de Haar est Hollandais. Il travaille pour le compte du bureau des affaires spatiales de son pays. C’est en quelque sorte un ambassadeur hollando-spatial europĂ©en qui est aussi invitĂ© par la NASA au centre de presse. Il Ă©crit aussi des articles dans ce domaine, sauf que lui filme, et filme et filme encore. Avec sa petite camĂ©ra, il zoome partout et parle en mĂŞme temps, histoire d’avoir un commentaire bien vivant. Hier dimanche, nous sommes allĂ©s voir au port de Cap Canaveral, lĂ  oĂą sommeille parfois le gros navire de Mickey et lĂ  aussi oĂą furent dĂ©barquĂ©s les boosters de la dĂ©funte navette spatiale.
Les pĂ©licans planent au-dessus d’Ă©tranges navires en attendant le dĂ©collage de la capsule Orion. Gerard, bien qu’ayant un billet pour la voir dĂ©coller tout près, a dĂ©cidĂ© de regarder le lancement  a 7h du matin, jeudi, de nuit, Ă  la maison. Il s’est offert une petite rĂ©sidence italiano grecque Ă  Titusville, juste en face des tours. Le veinard. Enfin, bien loin, avec une vue nette et directe sur le VAB. « Il y aura trop de monde. Je reste Ă  la maison », m’a-t-il averti. Je m’en fiche, je dormirai au centre spatial.

The majestic Cape Canaveral pelicans hovering over Orion
Gerard van de Haar is Dutch. He works on behalf of the Space Affairs Office of his country.
He is like an European space-Dutch ambassador who was also invited by NASA to the press center. He also writes articles about space programm, except he films, films, and films and even films. With its small camera, he zooms around and talk at the same time to have somthing comment. Yesterday, Sunday, we went to the port of Cape Canaveral, where sometimes sleeps a Mickey ship and also where the late space shuttle boosters were collected.

Gerard at his Florida home.
Pelicans soar over strange ships awaiting takeoff of the Orion capsule. Gerard, although have a ticket to see the Orion start, decided to watch the launch 7am on Thursday night… at home. He offered a small residence Italiano-Greek in Titusville, just in front of the towers. Oh, the lucky guy ! Finally, a so far away èlace with a clear and direct view on the VAB. « There will be too much people to see the launch. I stay at home !», he informed me. I don’t care, I will sleep at the space center.

dimanche 30 novembre 2014

Mon 14ème lancement de fusée

My Ford Escape Ecoboost.
Like a Kuga Ford in Europa, the big
"jeep" of my wife Anita.
Orion à terre. Mais la capsule, enfermée dans ce
cône bombée attend au bout de sa fusée Delta IV.
- Photo : Julian Leek.
Titusville, November 30th, 2014 (rke)] – A peine arrivĂ©, Ă  peine repĂ©rĂ©. Le lancement de la capsule Orion semble attirer du monde. Mon collègue hollandais m’invite dĂ©jĂ  Ă  faire une tournĂ©e spatiale voir la fusĂ©e Delta, tandis que mon autre ami photographe amĂ©ricain Julian Leek vient de m’envoyer une image de la capsule proche du VAB, le bâtiment d’assemblage des vĂ©hicules spatiaux de la NASA, lors d’un prĂ©cĂ©dent trip.
Si jamais, pour la petite histoire, j’en suis Ă  mon 14ème dĂ©collage officiel de fusĂ©e. Cela veut dire vu comme journaliste accrĂ©ditĂ©, aux premières loges, Ă  moins de 5 km Ă  vol d’oiseau. Y compris deux lancements de l’ESA Ă  Kourou, TVSat (1987), avec vole en Concorde et Smart 1 (2003).

Le ciel est toujours d'un bleu
je te veux... Photo : rke
My 14th rocket launch
Hardly arrived, hardly spotted. The launch of the Orion capsule seems to attract people. My Dutch colleague already invited me to a space tour see Delta rocket, while my other friend American photographer Julian Leek just sent me a picture of the capsule near the VAB, during a previous trip.

If ever, for the record, I’m in my 14th official launch rocket. This means seen as an accredited journalist, VIP view, 3 miles in direct sight. Including two launch of the ESA in Kourou, TVSat (1987), with a flight in the supersonic Concorde, and Smart 1 (2003).

samedi 29 novembre 2014

Un edelweiss sur Cap Canaveral

Sur le centre spatial de Cap Canaveral. 
J'Ă©tais assis Ă  droite. Donc, les tours sont 
de l'autre côté de l'avion. Photos : rke
[Tampa Bay, December 28th, 2014 (rke) ] – « Mesdames, messieurs, profitez de la magnifique vue. A votre gauche le centre spatial de Cap Canaveral ». Le commandant de bord du vol Edelweiss Air LX 8004 ne croyait pas si bien dire. C’est plutĂ´t rare de pouvoir passer, non pas pile poil au-dessus des tours de lancement, mais un peu plus au Nord. Ironie du sort, c’est delĂ , aux premières loges, que je devrais pouvoir assister au dĂ©collage de la capsule-test Orion (EFT-1) de la NASA, le 4 dĂ©cembre.
Au départ de Zurich
Edelweiss Air est une filiale de la compagnie Swiss International Air Lines (autrement dit Swiss) qui opère des vols le plus proche possible du soleil et de la mer. C’est la première compagnie « touristique » qui offre une business-classe et, surtout, une nouvelle classe Economy Max qui permet d’avoir davantage de places entre les sièges pour 200 francs par trajet en plus. Avec un service impeccable, des hĂ´tesses remarquables et des pilotes incomparables. Avec une liaison sur Tampa (au milieu ouest de la Floride), c’est l’idĂ©al pour se rendre Ă  Cap Canaveral, depuis Zurich, mĂŞme si le centre spatial est implantĂ© de l’autre cĂ´tĂ©, Ă  l’Est de la Floride.

An aerial swiss flower on Cape Canaveral
Tampa Bay by night. - Photos : rke
On Zurich.
« Ladies and gentlemen, enjoy the wonderful view. To your left, the Cape Canaveral space port ». The captain of the Swiss Edelweiss Air compagny (flight LX 8004) did not think so well. Because this is not common to fly over rockets towers, although not stright above them, but a little further north. Ironically, it’s beyond the front row, I should be able to attend the launch of the NASA test Orion capsule (EFT-1) on 4 December.
A edelweiss is the name of a flower of the Swiss Alps. The plant is unequally distributed and prefers rocky limestone places at about 1800–3000 m altitude. It is non toxic, and has been used traditionally in folk medicine as a remedy against abdominal and respiratory diseases.
An edelweiss on screen.
But an edelweiss is an airlline, too. Edelweiss Air is an affiliate compagny of Swiss International Air Lines compagny (Swiss), which operates flights nearest possible to the sun and the sea. It ‘s the first touristic company that offers business-class and above, a new class, the « Economy Max », which allows for more spaces between the seats for 220 dollars per trip and more. With an impeccable service, outstanding hostesses and incomparable pilots. With a bond on Tamp (middle western Florida) is ideal for travel to Cape Canaveral, even on the other side, to the east.
With an  airline (middle western Florida), it’s really a good opportunity to go to Cape Canaveral from Zurich, even if the space coast is on the other side of Florida.

dimanche 20 juillet 2014

Les 45 ans d’Apollo 11 Ă  Washington : pas de discours officiel, du monde, mais deux grands reporters Ă  l’affĂ»t

A l'intérieur du musée de l'air et de l'espar de Washington. Photo : rke
C'est la cabine Apollo de Skylab 4.
- Photo : Jacques Tiziou
C'est haut. - Photo : rke
[Washington, July 20th, 2014, 21h56, 21 juillet 03h56 heure suisse (rke) ]  - Alors que la NASA cĂ©lèbre au Kennedy Sapce Center (KSC) ce 21 juillet 2014 Ă  10h (heure locale) le 45ème anniversaire de l’atterrissage des deux premiers hommes sur la  Lune, j’ai dĂ©cidĂ© de cĂ©lĂ©brer cet Ă©vĂ©nement au coeur de la NASA mĂŞme, Ă  Washington. Un coup de chance, puisque, après le lancement d’Antares ce dimanche 13 juillet 2014, j’ai pu rester dans la capitale amĂ©ricaine pour commĂ©morer dignement, Ă  ma façon, Apollo 11. Dignement, c’est le cas de le dire, puisque j’ai eu l’occasion de visiter le MusĂ©e national de l’Aire et de l’espace de Washington avec Jacques Tiziou. IngĂ©nieur aĂ©ronautique, journalistique aĂ©ronautique et spatial et grand reporter pour les mĂ©dias de toutes les mĂ©tropoles françaises a couvert toutes les missions spatiales habitĂ©es amĂ©ricaines, depuis Mercury, GĂ©mini, Apollo, Skylab, Shuttle, etc. Cela fait bien des annĂ©es tout ça. AgĂ© 75 ans, ce Français devenu AmĂ©ricain Ă  force de passion pour l’espace a cĂ´toyĂ© quasiment tous les astronautes de l’Ă©popĂ©e spatiale amĂ©ricaine. Bref, je ne vous le prĂ©sente plus (lire ma news ici), tellement il en vu et revu, du monde.
Bref, le Smithsonian’s National Air and Space Museum a Ă©tĂ© pris d’assaut par les touristes ce dimanche 20 juillet 2014. L’entrĂ©e est gratuite, comme pour tous les autres musĂ©es de la capitale. La fouille Ă  l’entrĂ©e est sommaire. On passe dans le portail classique Ă  celui d’un aĂ©roport, sauf, que lĂ  peu de choses sonnent, en cas de mĂ©tal. Ma ceinture avec une boucle en acier, n’a rien fait sonner. Pas de discours officiel ce dimanche au musĂ©e, mais plein de monde, dont beaucoup de curieux massĂ©s autour de la cabine Apollo 11 (le module de commande CM), Ă©couter les explications d’un orateur du coin. « Je venais ici pendant la construction du muesĂ© pour voir son directeur Michael Collins, pilote d’Apollo 11 qui gĂ©nialement a rĂ©ussi Ă  construire ce musĂ©e dans les temps pour moins cher que prĂ©vu », se souvient un Jacques Tiziou très, très Ă©mu. Voir ma vidĂ©o : cliquez ici

 - Les autres photos : click here

La vidéo : cliquez sur l'image

45th Anniversary of the first Moon landing : 
no official speech, many people, but two main space-reporters on the lookout
Jacques Tiziou. - Photo : rke
Le LEM. - Photo : rke
While the famous NASA Kennedy Space Center (KSC) this July 21, 2014 at 10am (local time) honors the Historic First Moon Landing, I decided to celebrate this event in the heart of NASA, in Washington. A fluke, since after the launch of Antares this Sunday, July 13, 2014, I was able to stayto stay in the U.S. capital to commemorate worthily, in my own way, Apollo 11. Worthily, I can to say because I had the opportunity to visit the Smithsonian’s National Air and Space Museum in Washington with Jacques Tiziou (75 years old). Aeronautical engineer, aerospace journalist and media reporter for all French cities he has covered all U.S. manned space missions, from Mercury, Gemini, Apollo, Skylab, Shuttle, and others. It's been a long time already. This French became American after bravery and passion for space program has rubbed almost all U.S. astronauts space epic. Well, I describe him (click here).
Briefly, the Smithsonian's National Air and Space Museum was mobbed by tourists this Sunday, July 20, 2014. The museum entrance is free, like all other museums in Washington. And the control-way like an airport, was rather easy. I was able to spend with my metal buckle belt. No official speech Sunday at the museum, but a lot of people, including many curious gathered around the Apollo 11 cabin (the control module CM), listen to explanations of a speaker. « I came here during the construction of to see its director Michael Collins, Apollo 11 pilot, who brilliantly managed to build the museum in time for less than expected », recalls Jacques Tiziou, very, very touched. - My video : click here

View from the 1rst floor. - Photo : rke







samedi 19 juillet 2014

Relax Max : après la Pennsylvanie puis un Canada loupé, cap sur Potomac

Mon hĂ´tel, tout au fond, au milieu. - Photos : rke
[Washington, July 19th, 2014, (rke) ]  - Salut la Suisse. Eh, oui je suis encore aux USA. Sauf que j’ai dĂ» un peu changer mon itinĂ©raire. Mardi 15 juillet dernier, j’ai bien pris la route pour MontrĂ©al depuis Wallops Island, mais, au bout de 400 miles (600 km), je me suis aperçu que je n’aurais jamais eu le temps de continuer mon chemin encore deux fois plus loin. D’autant plus que j’aurais dĂ» rebrousser chemin, ne pouvant pas laisser ma voiture au Canada. Du coup, je suis restĂ© stationnĂ© en Pennsylvanie deux jours et j’en ai profitĂ©, conscience professionnelle oblige, pour avancer mon boulot pour www.swissengineering-rts.ch 
Puis, je suis revenu sur mes pas et j’ai foncĂ© au Nord ouest de Washington, plus prĂ©cisĂ©ment Ă  Potomac, dans le comtĂ© de Montgomery, petite ville, mini, mini pour ici, de 44'822 âmes. J’ai ainsi plantĂ© mes quartiers Ă  l’hĂ´tel Bolger Conference Center, un centre de sĂ©minaires et de confĂ©rences. Endroit de relaxation et de travail le plus chouette que j’ai trouvĂ© aux USA. Il y en a un aussi Ă  New York, le Dolce Palisades. Si jamais cela vous intĂ©resse, allez-y pour 100 francs suisses la nuit ! En ce moment.


Relax Max : after the Pennsylvania, then a missed Canada, cap on Potomac
But.... Where is the restaurant ? - Photo : rke
Hi guys ! Well, I‘m still in the USA. Except that I had a little change my route. Tuesday, July 15 last, I have taken the road to Montreal from Wallops Island, but after 400 miles, I realized that I never had time to continue my way more further. Especially since I would have had to turn back, unable to leave my car in Canada. Suddenly, I was stationed in Pennsylvania for two days and I took advantage, requires dedication to advancing my job to www.swissengineering-rts.ch  

Then I retraced my steps and I headed north west of Washington, specifically Potomac in Montgomery County, a small town (mini, mini for the USA), with exactly 44'822 people who live there. And I planted my head-quarters at the Bolger Conference Center Hotel, a reort for seminars and conferences. Place of relaxation and work coolest I've found in the USA. There is also one a New York, Dolce Palisades. If you are ever interested, go there for 120 dollars a night ! At the moment.
Do you see a place for my car ? - Photo : rke