Entre la sixième et septième avenue. photo : rke |
[ New York, July 20th 2012, © (rke),
english below ] – Faire les emplettes à Manhattan, c’est comme en Suisse !
Dans un certain sens, évidemment. Pour ces messieurs, l’attente de ces dames
dans les magasins est toujours aussi longue et même cent fois plus longue. Du
coup, j’ai laissé mes deux misses Laura et Rosalie seules déambuler dans les
rues hyper sécurisées de New York. Aux alentours de chaque rue, on y voit des
flics partout, même avec le monde fou qui y circule. On est tellement noyé dans
la masse qu’on ne peut avancer plus vite que le reste des gens. J’ai pris la
nouvelle valise de Rosalie pour l’aider à s’acheter d’autres habits et la débarrasser
de son objet encombrant. Même en lâchant la malle sans se faire la malle, au
bord du passage piéton (j’avais l’œil vigilant), aucun badaud n’est venu me
l’extirper alors que j’étais coincé dans la foule. Je n’ai jamais vu autant de
monde envahir les trottoirs, même lors d’une manifestation. En ce mois de
juillet, il doit bien y avoir des centaines de milliers de personnes déambuler
rien que sur la septième avenue de Manhattan qu’on a fini par appréhender.
Rendez-vous compte, ce sont mes deux accompagnatrices qui se sont faites mes
guides, tellement elles sont accoutumées à la ville. Une mégapole que Laura
n’aime guère. Elle préfère Miami. « Il faut un porte-monnaie très garni,
dès deux mille francs à l’infini, si l’on veut se contenter de tous ces
magasins. Et des bonnes baskets, on a parcouru 15 km en deux jours »,
conseille Rosalie.
Rosalie Collot et Laura Keller. Photo : rke |
Pour manger aussi, c’est la bourse…
de la vie. L’autre matin, on a déjeuné dans une brasserie propre et alléchante
du coin de rue de notre hôtel (Wellington)
et cela nous a fait 120 dollars (120 francs), pour trois grosses salades. Ne
parlons pas du métro où, après le jour caniculaire de mercredi, est devenu une
vraie fournaise. Laura est estomaquée de la vétusté et des mauvaises odeurs de
l’entrée de ce subway que les New-Yorkais nomment aussi e-train (non pas le
train électronique).
Mes deux miss Laura et Rosalie se
réjouissent de rentrer, surtout Laura qui peste contre le bruit de la ville
(elle ne supporte pas les sirènes des ambulances). Quant à Rosalie, notre
championne jurassienne hippique de saut RII 2011, elle a déjà un peu le blouse,
rien à la pensée de rentrer. Moi aussi d’ailleurs. Mais je m’y habitue.
Les
photos : cliquez ici
To
shop, eat and take the subway in Manhattan
Une boutique Dash dans le quartier Soho. Attention : très chère ! Photo : rke |
To shop in Manhattan is like in
Switzerland ! In a sense, of course. For these gentlemen, pending the ladies in
the shops is still long and even a hundred times longer. So, I left my two
misses Laura and Rosalie only walk down the streets of New York super secure.
Near every sreet, we see cops everywhere, even with the crazy people that
flows. We are so embedded in it (the crowd) that we can not move faster than
the rest of the people. I took the new suitcase for Rosalie to help her buy
more clothes and get rid of its cumbersome object. Even by dropping that
suitcase, along the walkway (I had the watchful eye), no bystander came to me
eradicate it while. I've never seen so many people invade the pavements. In this July, there must be hundreds of thousands
of people just walk on Seventh Avenue in Manhattan that we have finish to apprehended.
Did you know that they are my two attendants who have made my guides, so well
accustomed to the city ? A megalopolis that Laura does not like very much.
She prefers to go and to stand in Miami. « It’s necessary to have a very furnished
carrier-monaie (from two thousand dollars to infinity), if you will be
satisfied with all these stores. And good sneakers, we walked 10 miles in two
days », advises Rosalie.
Le métro délabré de Manhattan. Photo : rke |
To eat, it’s the expensive market, too.
The other morning we had lunch at a brewery clean and attractive « brasserie »
in the corner from our hotel (Wellington)
and we payd 120 dollars for three large salads, only for breakfast. And don’t
talking about the metro where, after the very hot day of Wednesday, has become
a real furnace. Laura is always shocked about dilapidation and stenches of the
entrance to the subway that New Yorkers also called e-train (but not electronic-train).
My two Miss Laura and Rosalie enjoye
to welcome back to Switzrtland, especially Laura, who protests against on the
noise of the city (she doesn’t support ambulance sirens). And for our equestrian
champion jumping (RII, Jura region 2011), Roslaie, she already has a little
bouse in the thought to return in the country, in Switzerland. Foe me, too. But
I'm getting used.
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