samedi 21 juillet 2012

Faire ses emplettes, manger et prendre le métro à Manhattan


Entre la sixième et septième avenue. photo : rke
[ New York, July 20th 2012, © (rke), english below ] – Faire les emplettes à Manhattan, c’est comme en Suisse ! Dans un certain sens, évidemment. Pour ces messieurs, l’attente de ces dames dans les magasins est toujours aussi longue et même cent fois plus longue. Du coup, j’ai laissé mes deux misses Laura et Rosalie seules déambuler dans les rues hyper sécurisées de New York. Aux alentours de chaque rue, on y voit des flics partout, même avec le monde fou qui y circule. On est tellement noyé dans la masse qu’on ne peut avancer plus vite que le reste des gens. J’ai pris la nouvelle valise de Rosalie pour l’aider à s’acheter d’autres habits et la débarrasser de son objet encombrant. Même en lâchant la malle sans se faire la malle, au bord du passage piéton (j’avais l’œil vigilant), aucun badaud n’est venu me l’extirper alors que j’étais coincé dans la foule. Je n’ai jamais vu autant de monde envahir les trottoirs, même lors d’une manifestation. En ce mois de juillet, il doit bien y avoir des centaines de milliers de personnes déambuler rien que sur la septième avenue de Manhattan qu’on a fini par appréhender. Rendez-vous compte, ce sont mes deux accompagnatrices qui se sont faites mes guides, tellement elles sont accoutumées à la ville. Une mégapole que Laura n’aime guère. Elle préfère Miami. « Il faut un porte-monnaie très garni, dès deux mille francs à l’infini, si l’on veut se contenter de tous ces magasins. Et des bonnes baskets, on a parcouru 15 km en deux jours », conseille Rosalie.
Rosalie Collot et Laura Keller.
Photo : rke
Pour manger aussi, c’est la bourse… de la vie. L’autre matin, on a déjeuné dans une brasserie propre et alléchante du coin de rue de notre hôtel (Wellington) et cela nous a fait 120 dollars (120 francs), pour trois grosses salades. Ne parlons pas du métro où, après le jour caniculaire de mercredi, est devenu une vraie fournaise. Laura est estomaquée de la vétusté et des mauvaises odeurs de l’entrée de ce subway que les New-Yorkais nomment aussi e-train (non pas le train électronique).
Mes deux miss Laura et Rosalie se réjouissent de rentrer, surtout Laura qui peste contre le bruit de la ville (elle ne supporte pas les sirènes des ambulances). Quant à Rosalie, notre championne jurassienne hippique de saut RII 2011, elle a déjà un peu le blouse, rien à la pensée de rentrer. Moi aussi d’ailleurs. Mais je m’y habitue.

Les photos : cliquez ici

To shop, eat and take the subway in Manhattan
Une boutique Dash dans le quartier Soho.
Attention : très chère ! Photo : rke
To shop in Manhattan is like in Switzerland ! In a sense, of course. For these gentlemen, pending the ladies in the shops is still long and even a hundred times longer. So, I left my two misses Laura and Rosalie only walk down the streets of New York super secure. Near every sreet, we see cops everywhere, even with the crazy people that flows. We are so embedded in it (the crowd) that we can not move faster than the rest of the people. I took the new suitcase for Rosalie to help her buy more clothes and get rid of its cumbersome object. Even by dropping that suitcase, along the walkway (I had the watchful eye), no bystander came to me eradicate it while. I've never seen so many people invade the pavements. In  this July, there must be hundreds of thousands of people just walk on Seventh Avenue in Manhattan that we have finish to apprehended. Did you know that they are my two attendants who have made my guides, so well accustomed to the city ? A megalopolis that Laura does not like very much. She prefers to go and to stand in Miami. « It’s necessary to have a very furnished carrier-monaie (from two thousand dollars to infinity), if you will be satisfied with all these stores. And good sneakers, we walked 10 miles in two days », advises Rosalie.
Le métro délabré de Manhattan.
Photo : rke
To eat, it’s the expensive market, too. The other morning we had lunch at a brewery clean and attractive « brasserie » in the corner from our hotel (Wellington) and we payd 120 dollars for three large salads, only for breakfast. And don’t talking about the metro where, after the very hot day of Wednesday, has become a real furnace. Laura is always shocked about dilapidation and stenches of the entrance to the subway that New Yorkers also called e-train (but not electronic-train).
My two Miss Laura and Rosalie enjoye to welcome back to Switzrtland, especially Laura, who protests against on the noise of the city (she doesn’t support ambulance sirens). And for our equestrian champion jumping (RII, Jura region 2011), Roslaie, she already has a little bouse in the thought to return in the country, in Switzerland. Foe me, too. But I'm getting used.

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